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Arrambam

Traduction : Le commencement

Bande originale

Adadada Arrambame
En Fuse Pochu
Hare Rama
Melala Vedikudhu
Stylish Thamizhachi

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La critique de Fantastikindia

Par Marine - le 29 novembre 2013

Note :
(8/10)

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Je suis émue. Ceci est ma première (et dernière ?) critique d’un film tamoul. Enfin presque, car il peut être difficile d’appeler ça une critique, mais vous allez comprendre…

Je l’annonce d’emblée, je ne suis pas une habituée des films tamouls, j’ai dû en voir quatre en tout et pour tout, en comptant celui-ci. Plus qu’une question de goût en fait, ceci est dû à l’opportunité de voir ces films avec des sous-titres en français. Ah ! barrière de la langue quand tu nous tiens ! Mais grâce à Ayngaran qui proposait des sous-titres plutôt corrects et fluides pour Arrambam [1], je peux enfin dire que j’ai eu ma révélation de l’année : Ajith Kumar, je suis amoureuse de toi !

Les lecteurs de Fantastikindia penseront trouver sur cette page une critique maîtrisée et réfléchie de ton dernier succès au cinéma, mais en réalité, c’est une déclaration. Pour la critique impartiale du genre " c’est un film d’action efficace, à l’américaine, sur fond de politique indienne ", il faudra aller chercher ailleurs. Mais en arrivant dans la salle de cinéma, je ne me doutais pas que j’en sortirai dans cet état d’esprit. C’est vrai qu’au départ j’étais inquiète.

Pour commencer, la bande-annonce était sombre. Ensuite, ton personnage, Ashok, pose des bombes dans Bombay et enlève un génie de l’informatique, Arjun (Arya), avec l’aide de sa complice Maya (Nayantara) afin de pirater des réseaux et des comptes bancaires. Forcément, donc, les flics de l’antiterrorisme le poursuivent. Oh ! stress pour moi ! Cependant, même dans ce rôle, il suffit que tu apparaisses à l’écran pour que toute la salle s’excite et siffle. Moi aussi j’ai été contaminée. Et lorsque je suis allée voir le film pour la seconde fois, l’amie qui m’accompagnait s’est mise à siffler également. Toute une ambiance certes, mais plus efficace que les chandelles.

Ajith, je t’avouerais que toi et moi, ce n’était pas notre première rencontre. Je t’avais déjà vu aux côtés de Tabu, dans Kandukondain Kandukondain, version indienne de Raison et sentiments, le roman de Jane Austen. Seulement, tu étais plus jeune. Certes déjà charismatique, mais pas avec autant de prestance que les années et les cheveux gris t’ont apportée. Sans même sourciller tu exhales la testostérone sur un écran 2D, laissant KO tout le public (masculin et féminin). Cette virilité est-elle due à ton torse qui laisse entrevoir quelques poils dans l’encolure de ta chemise, alors que presque tous les acteurs du nord les font disparaître à la cire ? A ton torse dont on n’exhibe même pas les six-packs comme une tablette de chocolat Côte d’Or à la télévision (certains diront que c’est parce qu’avec l’âge tu as pris un peu de ventre, les mauvaises langues) ?
Même sans les six-packs de Hrithik, ton jeu compense largement et, bien que ce tic avec les lunettes rappelle par moment Horacio Caine des Experts Miami, de toute façon je m’en fiche. Car je trouve qu’Horacio, aussi, a la classe. Mais pas autant que toi. Et puis grâce à toi, il y a une phrase en anglais qui ne me quitte plus (en 15 ans de scolarité aucune de mes profs n’a pu en faire autant) : « Make it simple ! ». Bref, tu me donnes envie de me dépasser, j’apprendrais presque l’anglais pour pouvoir regarder tes autres films.

[Attention gros spoiler] En fait, une seule chose m’a déçue à propos de ton personnage dans ce film : « mais je pensais qu’il allait finir avec Maya !!! ».

Oui, ceci est un cri du cœur de la grande amatrice de Bollywood que je suis, il me faut des couples partout ! Que veux-tu, j’aime l’amour. Alors d’accord, le rôle des amoureux a été dévolu à Arjun et Anitha (Tapsee Pannu). Ils sont mignons avec leurs petites ailes numériques bleues et roses, qui sont franchement jolies d’ailleurs. Elle est drôle, il est touchant de naïveté.
Oui, mais Ashok et Maya, il y avait quand même moyen, non ? Et puis avec certaines photos de promo, je m’étais laissé rêver moi ! Enfin, si Arrambam est le commencement, peut-être qu’une suite pourra y remédier ? *espoir de la rédactrice* Même si du coup il ne pourra il y avoir toute la tension "artificielle" de la première partie du premier opus, même si la fin du premier opus semble avoir totalement oublié le personnage de Maya… (ça, c’était nul franchement !)
Bref, j’ai dit que j’étais folle de toi Ajith et c’est vrai, mais ça ne m’empêche pas d’être moi-même : une râleuse.

Non, je voyais très bien Maya et Ashok ensemble. Nayantara est loin d’avoir un rôle de potiche, elle se bat, elle ment, elle est magnifique et n’hésite pas à user de ses charmes, elle pense… Elle a de l’étoffe. Tout à fait digne de toi. L’alchimie est d’ailleurs frappante, je me demande pourquoi les scénaristes n’y ont pas pensé.

Lorsqu’elle a vu Arya arriver à l’écran, mon amie qui découvrait le cinéma tamoul et donc ses acteurs, n’a plus réussi à détourner les yeux. C’est vrai que physiquement, c’est un véritable mannequin, sauf quand la réalisation en fait un ado obèse (l’humour sur les gros, c’est un peu spécial quand même). Son personnage et son histoire d’amour apportent de la légèreté au film. Dans les scènes d’action, et dans le film en général, on a l’impression qu’Arya est ton petit frère et que tu lui apprends comment suivre tes traces. De quelle générosité tu fais preuve cher Ajith !

Le rythme du film est intense, mais alterne intelligemment entre scènes d’actions, humour, une pointe de romance, une dose de drame, un soupçon de réflexion politique et pas mal de tension. Que vont faire les personnages ? Pourquoi ?

Les scènes d’actions m’ont semblé bien menées, mais je ne suis pas une spécialiste du genre. C’est vrai que le bruit des os qui craquent a été utilisé à satiété. Seulement, il y a un peu moins d’utilisation de la technique du câble que dans des films comme Boss. Ce qui fait que le métrage gagne en crédibilité même si certains personnages ne doivent vraiment se relever que par miracle (vu ce qu’ils ont pris en pleine tête… je ne vois pas ce qui pourrait les sauver à part ça).

La musique est un point important de la plupart des films indiens. Après une introduction où tu fais exploser un centre commercial de Bombay, on te voit danser et jouer du tambour sur la chanson titre. Ça tombe vraiment comme un cheveu sur la soupe. Mais Adadada Arrambame est entrainante et puis il faut bien présenter le personnage principal, non ?
Cependant, le plus beau clip est celui où vous fêtez Holi : Melala Vedikudhu. Les couleurs sont magnifiques et l’on partage ainsi l’un des rares moments de joie du film.
En Fuse Pochu est la chanson romantique où Arya et Tapsee ont des petites ailes de couleur dans le dos. Ailes numériques très bien rendues au passage.
Et franchement, Stylish Thamizhachi est sans intérêt. C’est la chanson « moi moi moi la plus belle, la meilleure, moi moi moi » du personnage négatif féminin qui est tournée comme un clip de chanteuse américaine. Heureusement que tu ne fricotes pas avec elle ! Nayantara est beaucoup mieux, je te le dis. Plus belle aussi. Et puis les scénaristes ne l’ont pas rendu vulgaire.

Une dernière chose qui fait que je suis amoureuse de toi ? Le discours. Oui, avec moi ça marche toujours : je suis sensible aux beaux parleurs (pauvre de moi !). Quand pour un homme malhonnête il y en a mille qui cherchent à faire le bien. Moi ça m’émeut (presque aux larmes et ce n’est pas une blague).

Je vais m’arrêter là, Ajith. Tu en sais assez maintenant (du moins jusqu’à Veeram, ton prochain film qui m’a déjà toute retournée, alors que tu ne fais que tourner la tête sur le teaser). Et si le lecteur de Fantastikindia est encore là et bien… chapeau et merci à lui d’avoir supporté la lecture de ce petit billet.


[1] Etant peut-être la seule non tamilophone de la salle, j’ai eu l’impression d’avoir les sous-titres rien que pour moi. Petite chanceuse !



Bande-annonce

Commentaires
18 commentaires
En réponse à vijay ouest - le 09/12/2013 à 13:07

Cet article n’est pas une critique puisque c’est une lettre de groupie comme l’indique le sous-titre. Certains mélanges de genres sont impossibles.

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vijay ouest le 11/12/2013 à 09:43

Mel, je persiste à penser que l’article repose sur une approche erronée, notamment sur un aberrant mélange des genres. En effet, d’après tes propos, l’auteure aurait cherché à atteindre plusieurs objectifs : faire une critique du film, analyser le phénomène du culte voué à un acteur et exprimer le plaisir à voir un film quand on est un fan, le tout sous la forme d’une lettre de groupie. Que ressort-il de cette démarche ? D’après tes propos, l’article nous "apprend" que les personnes qui admirent un acteur font penser à celles qui admirent des chanteurs, qu’admirer un acteur conduit à s’abandonner à la contemplation de celui-ci, que voir un film est festif pour les fans de l’acteur principal du film. En fait, tout cela n’est qu’une paraphrase de la définition même de la notion de groupie. Finalement, en mélangeant les genres, l’article ne traite aucun sujet, il se contente de "parler de", pour reprendre ton expression. Ta propre approche consiste à ne prendre en compte que les indices favorables à l’article : le fait de parler d’un film devient chez toi la confirmation que l’article ferait une critique du film, exprimer le plaisir de voir un film confirmerait que l’article analyserait ce plaisir. Mais on peut "exprimer" quelque chose, "parler" de quelque chose sans rien analyser du tout, sans produire d’idées, sans traiter un sujet. La vraie pensée est "infirmatoire" : on cherche à infirmer (l’article ne repose-t-il pas sur une démarche erronée ?) et c’est seulement quand on n’est pas arrivé à infirmer qu’on peut passer à l’approche confirmatoire. Tout le monde peut se tromper, et il est plus facile de critiquer un article que d’en rédiger un. Mais émettre des objections est un précieux moyen de faire avancer la réflexion et il me semble important d’avoir ce genre de discussion : ça permet de voir que le mélange des genres, certes à la mode, peut représenter une impasse et il est important de prendre conscience de ce qu’est une impasse car tant qu’on n’en a pas pris conscience, on ne peut pas sortir de cette impasse.

vijay ouest le 10/12/2013 à 18:54

Il reste des remarques à faire sur cette lettre de groupie. Pourquoi donc cet article mentionne-t-il une évaluation notée du film ? La note mise est une note de groupie et non une note émanant d’une analyse. Toute note de groupie est favorable et donc peu informative. Ensuite, la lettre de groupie étonne car l’auteure n’a vu qu’un seul film de cet acteur mais a déjà décidé qu’elle en est une groupie. Or, être groupie est un état s’inscrivant dans la durée, non ? Peut-être Marine ne verra-t-elle jamais d’autre film de cet acteur et peut-être que si elle en voit, elle finira très rapidement par ne plus se sentir groupie. Dans ces cas, elle aurait été une groupie éphémère (ce qui est contradictoire). Tout au plus pourrait-on dire qu’elle est une groupie potentielle. Se définir comme groupie à ce stade est pour le moins prématuré. Enfin, l’article en dit beaucoup plus sur la perception de l’acteur par l’auteure que sur le film lui-même. Présenter l’article comme consacré à l’acteur admiré et non à un film aurait été cohérent avec la démarche d’une groupie.

Mel le 11/12/2013 à 00:14

La remarque est très juste. Peut-être Marine n’est elle pas vraiment une fan inconditionnelle et hystérique d’Ajith. Peut-être a-t-elle choisi ce moyen pour exprimer le plaisir à voir ce film.

Mais qu’elle soit fan ou pas ne change rien pour nous autres, simples lecteurs. Nous ne la connaissons pas et nous n’avons que son écrit pour nous faire une idée du film.

On peut lire le texte au 1er degré (ce n’est pas une critique car elle n’est pas présentée comme il se doit), ou au second (c’est une des rares critiques qui nous parle du plaisir intense à se laisser emporter par le tourbillon de ce film tamoul qui exsude la virilité (et moi, ça me fait penser au mystère des enterrements de vie de fille avec des Chippendales ou à la folie des filles qui hurlaient pour les Beatles au Shee Stadium)).

Je vote pour la seconde option qui lève toutes tes remarques.

On peut aussi dire que cette critique est la 33ème que Marine ait publié sur le site. Pourquoi ne pas penser que ce texte est réfléchi, sa forme soigneusement travaillée et chaque mot pesé ?

Señorita le 10/12/2013 à 13:59

Toute classification a ses limites.
Effectivement, le fait que ce texte soit une "lettre de groupie" pourrait questionner son positionnement dans "critiques de film", néanmoins, elle parle du film, et c’est le meilleur endroit pour mettre cet article qui aurait encore moins de place ailleurs.
D’autant que si l’on regarde bien, et qu’on est tâtillon, et apparemment c’est le moment de l’être, la rubrique ne s’appelle pas "critiques de films", mais "articles et reviews". Je ne vois pas en quoi le texte de Marine ne peut pas être considéré comme un article, à défaut d’être une critique.
Rien n’est impossible à qui est ouvert vijay ouest ;)

vijay ouest le 10/12/2013 à 10:01

Tes propos, Mel, ne font que confirmer ce que nous avons dit : l’auteure de l’article ne dit qu’une chose, elle s’est abandonnée à la contemplation du héros. Ce sont des propos de groupie, c’est cohérent avec le sous-titre de l’article ("lettre d’une groupie") mais c’est incompatible avec la classification de l’article dans une rubrique de critiques de films. Je maintiens que ce mélange des genres est impossible.

Mel le 09/12/2013 à 22:40

Encore désolé, mais je ne suis pas du tout d’accord avec Candice et Vijay.

D’abord le texte de Marine parle du film. Il nous raconte la situation de départ (dans ce film d’action policier, Ashok est un voleur avec la police aux trousses qui n’hésite pas à tout faire sauter), nous dit qu’il y a des passages violents (les os qui craquent) et qu’il y a suffisamment de sentiment pour que l’on trouve cela touchant.

Ensuite, — c’est en creux — il nous dit que le scénario n’est pas forcément le plus inventif de l’histoire du cinéma mais que la réalisation et la mise en image sont efficaces et du niveau de ce qu’on est droit d’attendre. Cependant, l’intérêt principal n’est pas là.

Et là justement, on arrive à ce qui exprimé avec beaucoup de talent et un second degré brillant : ce film joue suffisamment intelligemment sur la virilité des deux héros pour inciter à s’abandonner à leur contemplation. Mieux, cet aspect prévaut sur tous les autres, fatalement plus ordinaires. Il rend le spectacle proposé bien plus festif et infiniment plus excitant qu’un quelconque film d’action.

Marine nous raconte que pour peu qu’on se laisse emporter, c’est un film jouissif dont on sort en ayant passé un très bon moment et un souvenir mémorable. Pour autant, les raisons de ce transport sont difficilement explicables et il faut voir le film pour le ressentir.

J’ai concentré ici en 200 mots ce que j’ai compris de l’article et je ne doute pas d’arriver à en tirer la longueur d’une critique habituelle, c’est à dire tournée en 1000 mots comme on a l’habitude de le faire. J’en déduis que le texte contient les informations traditionnelles d’une critique, mais avec deux choses en plus : une bonne dose d’humour (totalement absente de mon résumé) et une évocation de l’effet indéfinissable produit par deux mâles qui roulent des mécaniques sans donner l’impression d’y prêter attention.

A mon avis on peut objecter que le texte n’est pas drôle, ou que ce qu’il dit n’est pas vrai. Mais pas que c’est une "vraie" critique. D’autant plus, que je trouve le texte très soigneusement écrit, dans un style qui soutient parfaitement son propos.

Est-ce que Marine est devenue réellement une groupie d’Ajith à la vision d’Arrambam ? Pour le lecteur que je suis, cela n’a pas d’importance. Je prends de l’article ce que son auteure a voulu y mettre, et il y a beaucoup plus de choses qu’à l’accoutumée. Donc en tant que lecteur égoïste, j’applaudis à deux mains.

Candice le 10/12/2013 à 10:01

Euh okay mais c’est quoi le pitch de base du film ? J’ai compris qu’Arrambam était un film d’action, que les performances des acteurs étaient plutôt solides et qu’Arya avait des ailes dans le dos mais je ne sais toujours pas ce que ce film raconte.
A tel point que là, tu viens de m’apprendre que Ajith jouait un voleur… ( J’avais plutôt compris que c’était un terroriste, personnellement. )

Marine le 10/12/2013 à 11:37

Le pitch du film c’est un peu ça :)
Désolée si ce n’était pas assez visible ^^"

"Ashok, pose des bombes dans Bombay et enlève un génie de l’informatique, Arjun (Arya), avec l’aide de sa complice Maya (Nayantara) afin de pirater des réseaux et des comptes bancaires. Forcément, donc, les flics de l’antiterrorisme le poursuivent"

En dire plus serait vraiment du spoiler.

vijay ouest le 09/12/2013 à 20:13

Quelle que soit la volonté d’innover, il faut refuser certains mélanges de genres. Pour rédiger une critique, il faut prendre un minimum de distance avec l’objet. Donc, s’exprimer en tant que groupie, ça n’a pas sa place dans une critique, c’est autre chose, ça ne peut pas être une critique.

Didi le 09/12/2013 à 15:01

Il faut faire preuve d’un peu d’originalité… Ce n’est pas la première fois qu’une chronique de film prend une forme un peu originale, rappelez-vous http://www.fantastikindia.fr/site/Anaganaga-O-Dheerudu, du moins la partie rédigée par mézigue, ou celle, mémorable, de http://www.fantastikindia.fr/site/Magadheera

Candice le 09/12/2013 à 20:10

Je ne suis ni contre le fangirlisme ni contre les critiques un peu différentes mais là, je n’ai vraiment pas l’impression qu’on m’ait parlé d’Arrambam. Je ne remets pas en cause la démarche ou la qualité, plutôt la classification au sens strict.

vijay ouest le 09/12/2013 à 13:07

Cet article n’est pas une critique puisque c’est une lettre de groupie comme l’indique le sous-titre. Certains mélanges de genres sont impossibles.

Candice le 08/12/2013 à 05:36

Juste une question : pourquoi cet article est-il classé dans les critiques de film ? Comme tu le dis toi-même Marine, ce n’est pas une critique du film Arrambam. C’est assez trompeur de le classifier dans les critiques sous le nom d’un film….

Mel le 09/12/2013 à 00:29

Pardon, mais je ne suis pas d’accord. C’est une critique … différente.

L’analyse du pourquoi du comment pour un film d’action n’a pas forcément beaucoup d’intérêt il me semble. Par contre cette critique me donne furieusement envie de voir le film, et me dit à quoi m’attendre. Elle insiste sur le point essentiel dont on ne parle jamais aussi directement : le transport des foules (toujours très mystérieux pour celui qui malgré des recherches intensives, ne trouve pas la fangirl en lui).

Marine le 09/12/2013 à 12:49

Serait-ce toi qui n’a pas trouvé la fangirl en toi ? …
Mais la fanta team connait très bien ton côté fangirl mel :D
Qui va aller voir Dhoom 3 juste pour Katrina ;) ?

Jawad le 02/12/2013 à 12:00

Alors là je me suis pas marré depuis longtemps en lisant une critique de film. Merci à ta Marine, enfin critique de film, heu.. plutôt déclaration d’amour pour Ajith !
Je reconnais qu’il a du charisme et aussi une vraie personnalité, le mec n’est pas opportuniste, ça se sent dans ses choix (hasardeux ?) de films.
Et arrambam j’ai trop envie de le voir, au Tamil Nadu, les affiches étaient placardées partout, il n’y en avait que pour Ajith !!!

Si tu es fan, tu peux regarder Asai, Valee, Amarkalam, Varalaru et Mankata, ça fait partie de ses bons films. Mais attention avec Veerai, Ajith est connu pour enchainer un blockbuster (Arrambam, Varalaru, Mankata, Billa…) avec une bouse (Aegan, Aalwar, Billa 2, Veerai ?).

kendra le 29/11/2013 à 01:10

Alors là, j’espère bien que ce n’est pas ton dernier article sur un film tamoul ! J’en veux encore ! Là, c’est l’autre rédactrice avec un énorme crush pour Ajith (et Arya) qui parle "Sister, I feel you". Tu as su exprimer ce qu’Ajith peut faire ressortir en toute personne : la fangirl.
Je n’ai pas encore pu voir Arrambam, qui n’est pas passé dans ma contrée bien éloignée (bouh) mais lire que Nayanthara n’a pas un rôle vulgaire me fait plaisir, depuis quelques films, elle montre une nouvelle facette franchement agréable, elle a des choses à dire cette fille.
Bref, merci pour ce joli morceau de ton coeur ;)

Marine le 29/11/2013 à 14:33

Pour dire si c’est ma dernière critique d’un film tamoul, je doit t’avouer que je vais attendre de voir Veeram *Kyaaaaaaaaaa* (cri de la fangirl)

En tout cas, merci pour tes encouragements. J’ai hâte de voir ta critique de Raja Rani ^^

ps : Arya est vraiment pas mal… mais j’ai quand même une préférence pour Ajith :D